Tome deux des aventures d'un jeune Anglais en France le voit s'affronter aux paysans de la Corrèze, au snobisme parisien sur l'île de Ré, et aux difficultés de monter une petite entreprise à Paris. Sans oublier, bien sûr, les Françaises...
Le synopsis
Paul West, notre Englishman préféré, a décidé de rester en France pour parfaire son éducation érotic-sentimentale.
Il a trouvé la Française de ses rêves. Elle n'a qu'un défaut : ses parents. Et même s'il jure ses grands dieux que l'empoisonnement de sa belle-mère n'était pas prémédité, sa fiancée, depuis, ne le regarde plus tout à fait du même oeil...
Sinon, entre deux siestes crapuleuses, Paul West n'a pas renoncé à ouvrir son salon de thé typiquement British. Mais il prend du retard car il se débat parallèlement averc quelques questions existentielles : les bureaucrates sont-ils tous pervers ? Y a-t-il une manière de cuisiner les courgettes qui les rendrait comestibles ? Comment une Française peut-elle décemment préférer un French lover à un sujet de Sa Majesté ?
Un peu d'histoire...
J'étais déjà en train d'écrire ce roman quand A Year in the Merde (traduit comme God save la France) a commencé à bien marcher. J'étais déjà convaincu que le héros, Paul West, était un personnage à suivre dans la vie. Surtout parce que, à part une petite excursion pour visiter une maison de campagne, Paul était resté à Paris dans le premier tome. Et moi, j'adore voyager en France. Je connais assez bien la Corrèze, et j'ai passé plusieures vacances sur l'île de Ré.
Au même temps que je démarrais ce tome 2, ("Merde Actually" en anglais) j'étais aussi en train de monter une entreprise d'édition, aventure que j'ai finalement abandonné face aux difficultés administratives. On me harcelait pour assurer mes employés contre les congés maternité. J'expliquais qu'étant seul employé, ça ne risquait pas de m'arriver, mais les demandes devenaient de plus en plus menaçantes et finalement je me suis dit, merde.
En plus, le premier roman décollait, on m'invitait pour faire des lectures aux USA et en Australie. Alors je me suis entièrement consacré à finir God Save les Françaises, et profiter de cette totale liberté d'écrire exactement ce que je voulais. Je pense que ça se sent en le lisant. D'où mon immense satisfaction, et étonnement, quand il est monté au numéro un des best-sellers lors de sa sortie en Angleterre en 2005. Paul West, numéro un. C'est peut-être mieux qu'il ne le sait pas...